samedi 28 janvier 2017

Le crime de l'albatros

4 de couv' :
Printemps 1919, l'armistice a été signé six mois plus tôt. Célestin Louise, démobilisé, rejoint Paris et les célèbres Brigades du Tigre. Tandis que ses collègues enquêtent sur un certain Landru, Célestion est chargé d'éclaircir les circonstances de la mort d'Alexandre Mekinoff, un producteur de cinéma russe retrouvé poignardé dans ses studios de l'Albatros. Très riche et grand amateur de femmes, Mekinoff avait de nombreux ennemis. Mari jaloux, maîtresse délaissée ? Célestin n'y croit pas. Son intuition lui souffle que la vérité se trouve dans le passé militaire de la victime. Il va devoir revenir sur les champs de bataille dévastés et affronter les souvenirs de cette guerre qu'il essaie d'oublier...


Où l'on retrouve Célestin Louise dans la France d'après-guerre, le début des années folles. La guerre encore présente cependant, dans les souvenirs autant qu'avec ses anciens compagnons d'armes et leurs traumatismes physiques ou mentaux.
Une enquête assez classique, une reconstitution historique comme toujours réussie, sur fond d'industrie cinématographique française bien balbutiante. Mais une fin douce-amère - en deux épilogues -, à l'image de cette époque.

Et la fin de cette série se dit-on et ça aurait d'ailleurs dû être le cas, oui mais voilà...

PS à l'attention de l'auteur : "Mékinoff", pour un producteur de cinéma ? Petit rigolo, va !
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