Donc le lauréat du prix es lecteurs du Télégramme est, sans surprise tellement ce roman était au dessus du lot, mon chouchou de cette année.
A savoir "L'Homme de Lewis" de Peter May.
Et si le coeur vous en dit, voici l'article qui lui est consacré. Pour ce qui est de l'émission télé, désolée de l'annoncer en retard mais les extraits semblent visibles avec l'article.
Pas de surprise, donc, juste la logique confirmation d'un talent.
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Petites réflexions personnelles sur mes différentes lectures. Mais juste mon opinion, mes impressions, pas un jugement. Je ne suis pas critique littéraire ! Juste une simple lectrice, qui prend plaisir (ou pas) au fil des pages, et qui a envie de vous le faire partager. Et qui est très curieuse de connaître votre opinion aussi !
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samedi 26 mai 2012
mercredi 2 mai 2012
Mon classement
N'ayant pas la possibilité de récupérer et lire à temps le dernier ouvrage de la sélection du prix littéraire du Télégramme, j'en ai supprimé la réservation auprès de la bibliothèque et ai déjà enregistré mon vote.
Que dire de cette sélection au final ? Je l'ai trouvée assez inégale et les lecteurs - même si le nombre de livres a été réduit et que la moitié sont de (très) courts ouvrages - ont malgré tout du mal à tout lire avant l'échéance. Faut-il vraiment qu'il se termine si tôt, surtout que si moi j'ai suffisamment de temps libre pour participer, je sais que ce n'est pas le cas de tous.
Autre remarque, très personnelle évidemment (les goûts, les couleurs, etc.) : aucun livre qui se démarque réellement, ou alors, c'est que je deviens vraiment exigeante à force de lire !
J'ai bien aimé "Un peuple de promeneurs", mais je ne pouvais m'empêcher de penser à "Petite, allume un feu" que j'avais adoré, au point d'y repenser régulièrement depuis, et finalement l'acheter il y a quelques mois. Certains livres vous marquent plus que d'autres.
"L'homme de Lewis" est sans conteste mon préféré, mais il n'a pas bénéficié de l'effet de découverte : je connaissais déjà "L'île aux chasseurs d'oiseaux", je savais que, sauf déception d'un livre suite d'une trilogie qui ne tiendrait pas ses promesses, j'avais toutes les chances d'apprécier.
"Une anglaise à bicyclette" m'intriguait mais je m'attendais, vu les résumés et le quatrième de couverture qui en étaient donnés, à quelque chose de plus piquant, envolé. Ce qui était assez vrai dans la première grosse moitié du roman, mais s'essouffle sur la fin.
"Karen et moi", je n'ai pas particulièrement aimé, j'ai expliqué pourquoi.
"Les trois lumières" fut la bonne surprise de la sélection, bien que trop court, j'ai eu envie de donner un coup de pouce.
"Chroniques de la révolution égyptienne" est celui que je n'aurai pas le temps de lire, dommage...
Donc mon classement est celui-ci :
1) L'homme de Lewis
2) Les trois lumières
3) Un peuple de promeneurs
Reste à attendre le résultat officiel à présent.
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Que dire de cette sélection au final ? Je l'ai trouvée assez inégale et les lecteurs - même si le nombre de livres a été réduit et que la moitié sont de (très) courts ouvrages - ont malgré tout du mal à tout lire avant l'échéance. Faut-il vraiment qu'il se termine si tôt, surtout que si moi j'ai suffisamment de temps libre pour participer, je sais que ce n'est pas le cas de tous.
Autre remarque, très personnelle évidemment (les goûts, les couleurs, etc.) : aucun livre qui se démarque réellement, ou alors, c'est que je deviens vraiment exigeante à force de lire !
J'ai bien aimé "Un peuple de promeneurs", mais je ne pouvais m'empêcher de penser à "Petite, allume un feu" que j'avais adoré, au point d'y repenser régulièrement depuis, et finalement l'acheter il y a quelques mois. Certains livres vous marquent plus que d'autres.
"L'homme de Lewis" est sans conteste mon préféré, mais il n'a pas bénéficié de l'effet de découverte : je connaissais déjà "L'île aux chasseurs d'oiseaux", je savais que, sauf déception d'un livre suite d'une trilogie qui ne tiendrait pas ses promesses, j'avais toutes les chances d'apprécier.
"Une anglaise à bicyclette" m'intriguait mais je m'attendais, vu les résumés et le quatrième de couverture qui en étaient donnés, à quelque chose de plus piquant, envolé. Ce qui était assez vrai dans la première grosse moitié du roman, mais s'essouffle sur la fin.
"Karen et moi", je n'ai pas particulièrement aimé, j'ai expliqué pourquoi.
"Les trois lumières" fut la bonne surprise de la sélection, bien que trop court, j'ai eu envie de donner un coup de pouce.
"Chroniques de la révolution égyptienne" est celui que je n'aurai pas le temps de lire, dommage...
Donc mon classement est celui-ci :
1) L'homme de Lewis
2) Les trois lumières
3) Un peuple de promeneurs
Reste à attendre le résultat officiel à présent.
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dimanche 29 avril 2012
Et ça pédale...

Un massacre d'indiens dans le Dakota du Sud.
Le mariage d'une jeune femme avec son père adoptif dans l'Angleterre victorienne.
Un constable trop méticuleux.
Une bicyclette qui change un destin.
Cinq mystérieuses photographies.
Et sir Arthur Conan Doyle qui croit dur comme fer à l'existence des fées.
Le romanesque à l'état pur de Didier Decoin.
Ce roman me laisse un peu perplexe.
Autant il a été un très plaisant moment de lecture, autant je n'arrive pas à comprendre l'intérêt de cette histoire de fées (une véritable histoire de canular du début du XXe siècle) à la fin de ce roman. La fin des illusions peut-être ? Qui va permettre à notre (prétendument) anglaise à bicyclette de revenir à la réalité de ses origines ?
Je suis peut-être lapidaire, surtout avec un auteur qui n'est pas nouveau dans le métier, mais j'ai trouvé cette partie comme arrivant comme un cheveu sur la soupe, ce qui m'a gâché un peu la fin du roman.
Je regrette également que la psychologie des personnages reste somme toute assez succincte (même si les personnages d'Emily et Jayson soient attachants), que le lien entre les différentes parties du roman et de la vie d'Emily ne soient pas plus étoffées, que les habitants du village ne sont finalement qu'évoqués et que certains évènements de l'histoire ne soient pas plus développés. D'autant que l'auteur saute les années sans de réelles transitions. On a donc par moment une impression d'inachevé sur certains passages. Et j'ai trouvé le final trop rapide, l'auteur évoque à peine la fin de la vie d'Emily pour s'appesantir sur cette histoire de fées à laquelle je n'ai décidément que peu accroché.
Cependant, je le répète, il reste vraiment agréable à lire et est un bon moment de lecture. On est happé par l'histoire dès les premières pages avec un démarrage sur les chapeaux de roue, on s'attache aux personnages facilement.
Reste à le classer à présent, mais il me reste encore un livre de la sélection à lire (si je le récupère à temps de la bibliothèque).
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lundi 23 avril 2012
Nouveau polar chez les îliens

En rupture de ban avec son passé, Fin MacLeod retourne sur son île natale de Lewis. La mort tragique de son jeune fils a pluvérisé son mariage. Impuissant et résigné, il a quitté la police. La lande balayée par les vents, la fureur de l'océan qui s'abat sur le rivage, les voix gaéliques des ancêtres qui s'élèvent en un chant tribal : il pense pouvoir retrouver ici un sens à sa vie.
Mais, Fin à peine arrivé, on découvre le cadavre d'un jeune homme, miraculeusement préservé par la tourbière. Les analyses ADN relient le corps à Tormod MacDonald, le père de l'amour de jeunesse de Fin, et font de lui le suspect n°1. C'est une course contre la montre qui s'engage alors : l'inspecteur principal est attendu sur l'île pour mener l'enquête et il n'épargnera pas le vieil homme, atteint de démence sénile.
Au rythme des fulgurances qui traversent l'esprit malade de Tormod, le passé ressurgit, douloureux, dramatique, et dévoile le sort que la société écossaise a réservé pendant des décennies aux "homers" : ces enfants orphelins ou abandonnés que l'Eglise catholique envoyait sur les îles Hébrides.
Pour le moment, des six livres du prix des lecteurs du Télégramme, c'est celui-ci qui me plaît le plus.
Déjà parce qu'on y retrouve avec plaisir les personnages et l'atmosphère de "L'île des chasseurs d'oiseaux", que j'avais bien aimé (et qui a été le lauréat du prix des lecteurs Cézam 2011), ainsi que ce qui caractérisait le premier opus, à savoir les allers-retours entre le présent et le passé, qui se recoupent et se complètent.
J'ai beaucoup aimé que l'évocation du passé vienne des souvenirs de Tormod MacDonald, atteint de la maladie d'Alzheimer, tout en donnant sa propre perception du présent, le rendant ainsi particulièrement touchant. Et tout comme les autres personnages, on veut en savoir plus. Et quelque part, le protéger, que ce soit dans ses souvenirs d'adolescent ou son désarroi face à sa maladie.
De cette évocation du passé, seul le lecteur est complice, puisqu'il ne fait part de ce qu'il pense que de très rares fois. Mais des détails cruciaux pour l'enquête...
L'atmosphère m'a paru moins lourde que dans le premier roman. Il faut dire que depuis, Fin a fait la paix avec son passé d'îlien et tiré un trait sur sa vie à Glasgow, démissionnant de son poste de policier pour revenir sur l'île de Harris. Réconcilié avec lui-même en quelque sorte. Mais toujours tourmenté par la mort de son fils (je pense qu'on en entendra parler dans le prochain roman).
Superbe aussi sont les descriptions des paysages, des lumières et du temps. On s'y croirait : on voudrait cueillir les fleurs, on sent le vent et la pluie sur le visage et s'infiltrer dans les vêtements, on croirait sentir l'odeur d'un feu de tourbe ou de l'iode, on reste émerveillé de la variation des lumières.
La seule chose que je pourrais regretter dans ce roman, c'est le sujet de ces orphelins qui je trouve aurait pu être un peu plus développé. Mais il y aurait alors eu le risque que cet aspect empiète sur le reste de l'histoire qui n'aurait alors été qu'un vague prétexte pour un plaidoyer de la cause de ces enfants et de leur triste sort.
Et c'est finalement mieux ainsi, j'ai trouvé que le roman était bien équilibré.
Je pense que beaucoup trouveront la fin un peu rapide, au vu du dénouement, on ne peut plus théâtral. Mais les derniers mots reviennent à Tormod, et ça n'est que justice. Et n'en est que plus fort.
Bref, un roman que j'ai dévoré avec plaisir et qui est bien placé dans mon classement.
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dimanche 22 avril 2012
Joyeux joyaux
4 de couv' :
Dans "Un peuple de promeneurs", préfacé par Lydie Dattas, Alexandre Romanès revient sur une vie faite de rencontres et d'histoires gitanes. Celles-là même qu'il a soigneusement notées et dont son livre est nourri. Un recueil de pensées et maximes, "beau, rôle et tragique" comme le peuple tsigane qu'il chante.
Ce livre est un écrin dont s'envolent de vrais petits bijoux. C'est souvent drôle (car très juste), tendre, émouvant.
J'y retrouvé un peu de "Paroles" de Prévert (que j'adore) et que je relirais bien volontiers.
En voici deux extraits, mes préférés :
Alexandre Romanès a écrit d'autres livres, je pense que je me laisserai tenter...
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Dans "Un peuple de promeneurs", préfacé par Lydie Dattas, Alexandre Romanès revient sur une vie faite de rencontres et d'histoires gitanes. Celles-là même qu'il a soigneusement notées et dont son livre est nourri. Un recueil de pensées et maximes, "beau, rôle et tragique" comme le peuple tsigane qu'il chante.
Ce livre est un écrin dont s'envolent de vrais petits bijoux. C'est souvent drôle (car très juste), tendre, émouvant.
J'y retrouvé un peu de "Paroles" de Prévert (que j'adore) et que je relirais bien volontiers.
En voici deux extraits, mes préférés :
"Lénutsa, treize ans,
enceinte de Marius, quatorze ans.
Quand il n'est pas en prison, ils ne se quittent pas.
Leur vie, quand ils sont ensemble,
n'est qu'un éclat de rire."
"Moi qui était si misogyne, j'ai fait cinq filles.
Dieu m'a donné une bonne leçon que je méritais
et il m'a fait un grand cadeau
que je ne méritais pas."
Alexandre Romanès a écrit d'autres livres, je pense que je me laisserai tenter...
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samedi 14 avril 2012
Lumineux

4 de couv' :
Dans la chaleur de l'été, un père conduit sa fille dans une ferme du Wexford, au fond de l'Irlande rurale. Bien qu'elle ait pour tout bagage les vêtements qu'elle porte, son séjour chez les Kinsella, des amis de ses parents, semble devoir durer. Sa mère est à nouveau enceinte, et il s'agit de la soulager jusqu'à l'arrivée du nouvel enfant. Pour elle qui n'a connu que l'indifférence dans une fratrie nombreuse, la vie prend une nouvelle dimension. Claire Keegan brosse ici le portrait magnifique d'une enfant qui apprend à grandir entourée d'adultes mystérieux et d'une nature dont la beauté coupe le souffle.
Joli petit roman d'un été en quelque sorte initiatique où une petite fille apprend le bonheur et ouvre les yeux sur la réalité de ceux qui l'entourent.
Un court roman, car comme ses personnages principaux, seul l'essentiel est dit. Et dans le même temps, beaucoup est dit et décrit : l'époque, les descriptions du temps, des paysages, des gens, des atmosphères. En peu de mots d'une écriture simple, l'auteure fait passer beaucoup.
Un court roman, plein d'émotion(s), je l'ai fini les larmes aux yeux. Une belle découverte, une bonne surprise, un petit bijou.
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samedi 7 avril 2012
Pompage


C'est d'abord l'histoire d'une rencontre, que seule la littérature rend possible, entre un écrivain magnifique, Karen Blixen, et une petite fille de onze ans qui lit La Ferme Africaine sous une tente. Le temps passant, la petite fille solitaire est devenue une jeune femme qui entreprend d'écrire la biographie de celle qui l'accompagne depuis toujours. Plus elle s'enfonce dans son récit et plus elle découvre que la Karen de ses rêves - qui étouffe dans les salons danois, embarque pour l'Afrique avec Bror, son mari, se consumme d'amour pour Denys, puis revient, dix-sept ans plus tard, à la maison familiale de Rungsteedlund, seule et brisée - la renvoie à sa propre existence et à ses aspirations enfouies.
Commence alors un long chemin intérieur, où le sentiment d'étrangeté au monde, les souvenirs douloureux et les désirs contenus sous les apparences d'une vie rangée sont autant de liens secrets qui réunissent les deux femmes. Karen et moi, ou comment se sauver par l'écriture.
Il s'agit ici d'un roman introspectif et je n'ai pas réussi à accrocher.
La narratrice alterne la vie de Karen Blixen et sa propre vie, faisant un parallèle entre les deux, ce qui était une très bonne idée de départ, et pouvait amener à un grand roman.
Que la narratrice ne se sente pas faite pour le milieu dont elle est issue, soit. Mais au lieu d'en tirer sa force, elle se contente de subir sa vie en silence et donc dans la douleur, toujours indécise sur les choix de sa vie, se contentant (plus confortable ?) de se conformer à ce qu'on attend d'elle. Ça, ça m'a un peu gonflée, mais je comprends aussi que pour d'autres que moi, il ne soit pas toujours facile d'avancer contre vents et marée.
Les personnages réels ou imaginaires qui m'ont toujours le plus intéressés sont justement ceux qui refusent d'entrer dans le moule qu'on leur prédestine et qui prenne (intelligemment) leur vie en main. J'ai donc eu un peu de mal à accorder concession et crédit à la narratrice.
Qui plus est, même si leurs vies respectives ont des similitudes, la comparaison s'arrêtera là : Karen Blixen semblait être une femme d'action, surtout pour son époque, que la narratrice, elle, subit les choses, y compris sa propre douleur et insatisfaction dont elle n'arrive pas à en faire le moteur de sa vie.
Autre point négatif : si vous avez lu "La Ferme Africaine" et/ou vu "Out of Africa", laissez tomber. Si ce n'est pas le cas et voulez un résumé, lisez ce livre. Out of Africa est un superbe film, Karen Blixen a su, paraît-il avec brio (car je ne l'ai pas lu moi-même) écrire dans "La Ferme africaine" sa vie au Kenya.
"Karen et moi" n'y apporte rien de plus. La narratrice a adoré "La Ferme africaine", très bien. Au point que c'est ce livre qui va la pousser à écrire le sien, tant mieux pour elle.
Mais je le répète, j'ai eu la désagréable impression d'un résumé de ce récit.
A cela s'ajoute un résumé de "L'appel de la forêt", un de mes livres préférés certes, mais du coup si vous ne l'avez jamais lu et ne voulez pas en connaître la fin, évitez ce livre-ci. En plus je ne suis pas tout à fait d'accord avec la narratrice sur son interprétation de la fin.
Par contre, elle a adoré ce roman de Jack London et son personnage principal, Buck, tout comme moi, et je dois reconnaître qu'elle sait le mettre en valeur.
Ajoutez encore beaucoup de citations littéraires, que ce livre ne fait que 146 pages et vous comprendrez alors ce qui fait le titre de ce mot de billet.
Entre la vie de Karen Blixen, "L'appel de la forêt" et ces citations, il y a beaucoup trop d'éléments extérieurs à l'introspection de la narratrice, on peut même dire qu'il y en a plus, et ceci est le gros défaut de ce très court roman.
J'aurais aimé plus de réflexions sur sa vie, plus de remises en question sur ses (plus ou moins bons) choix de sa vie, soit une vraie introspection. Et je n'y ai peut-être rien compris, mais cela m'a donné l'impression que tout comme (de son propre aveu) elle est spectatrice de sa propre vie, elle devient lectrice de son propre roman.
Cependant : j'ai beaucoup apprécié la fin du livre car enfin, comme elle le dit elle-même, "plus de triche". En approchant de la fin, elle devient enfin elle-même, l'écriture est plus intéressante, elle se prend en main et, enfin, sa vie avec. C'est sans doute cela qui en fait la force de ce roman et explique qu'il ait de si bonnes critiques.
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samedi 10 mars 2012
Et de dix, mais plus que six !

C'est la dixième édition de ce prix des lecteurs, une version allégée cette année puisqu'on passe de 10 à 6 ouvrages que je vous laisse découvrir ici.
Je vais donc suivre ce prix cette année, d'autant que dans la sélection, certains titres ("L'homme de Lewis", "Karen et moi") me tentaient déjà.
Vous savez donc ce qui vous attend ici, j'ai déjà réservé auprès de la bibliothèque quatre des six titres !
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