mercredi 27 avril 2022

Le chant de l'assassin


4 de couv' :
1972. En prison depuis plus de vongt ans, EvanRiggs n'a jamais connu sa fille, Sarah, confiée dès sa naissance à une famille adoptive. Le jour où son compagnon de cellule, un jeune musicien nommé Henry Quinn, est libéré, il lui demande de la retrouver. Mais lorsque Henry arrive à Calvary, au Texas, le frère de Riggs, shérif de la ville que la jeune femme a quitté la région depuis longtemps, et que personne ne sait ce qu'elle est devenue. Malgré tout, Henry s'entête. Il a fait une promesse, il la tiendra. Il ignore qu'en réveillant ainsi les fantômes du passé, il va s'approcher d'un secret que les habitants de Calvary veulent dissimuler. À tout prix.

Les mots me manquent pour dire à quel point j'ai adoré cette lecture, que ce soit l'écriture, l'histoire et la manière dont elle a été construite, admirable.

Le roman raconte sur deux époques différentes, mises en parallèle,  la même histoire. Les chapitres alternent et se font écho : un pour le passé (années trente et quarante), un pour le présent (qui se situe en 1972).
Chaque chapitre fait écho à l'autre et suit la même progression, la même trame narrative, redonne au lecteur les mêmes sensations. La tension va crescendo et au même rythme pour chaque époque jusqu'au'à chaque dénouement.
Pour un épilogue apaisé. À se dire que le pire acte qui ait pu être fait à une époque se révèle finalement être le meilleur (et involontaire) cadeau et que malgré tout ce marasme, il en ressort quelque chose de bien.

Magnifique.

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