Me plonge-je dans les inénarrables et cocasses aventures de Bertie, systématiquement miraculeusement sauvé du désastre par Jeeves, son très affuté et efficace majordome ?
Ou vais-je plutôt opter pour la délicate douceur poétique de la parfaite écriture de Stefan Zweig ?
Ou alors un bon vieux polar.
Ça me rappelle mon homme pendant un match de tennis de table qui n'arrivait pas à battre un adversaire car il voyait toutes ses failles et n'arrivait pas à choisir contre laquelle agir pour gagner. Qu'il a résumé ainsi au coach de l'équipe venu l'engueuler : "trop de possibilités".
Coach qui continue d'en rire 5 ans après : on la lui avait jamais faite, celle-là.
Bon, je me moque, je me moque, mais je n'ai toujours pas choisi...
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