4 de couv' :
Pour éprouver la soif il faut être vivant.
Je suis un peu mitigée sur ce nouvel Amélie Nothomb, dont je n'arrive décidément pas à retrouver la patte des débuts, bien que je reconnaisse que ce livre-ci est décidément meilleurs que les tous derniers.
Le narrateur est donc ici Jésus, de sa condamnation à sa résurrection.
Ce qui donne ainsi une version voire une interprétation on ne peut plus intéressante et subtile de cette partie des Evangiles, sans que l'autrice n'en bouleverse trop les codes, mais suffisamment pour qu'on se laisse porter par ce décalage avec intérêt et curiosité.
Une bonne idée sur un sujet ardu (n'est pas le Messie qui veut), des réflexions intéressantes, mais un ensemble qui reste parfois un peu à la surface des choses.
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