dimanche 7 octobre 2012

Soyons honnête...



Je n'ai pas fini de lire le troisième tome des Misérables. Non pas que j'ai laissé tomber, d'ailleurs les raisons qui m'ont fait lâché cette lecture sont complètement extérieures à ce roman.

Disons juste que ça a commencé par un manque de temps pour pouvoir me replonger confortablement dans ce roman.

Puis un ensemble de circonstances dont je ne parlerai pas ici (bien que rien de dramatique, hein, vous inquiétez pas) m'ont permises de me "retrouver" et de me tourner vers une occupation latente chez moi depuis toujours que j'ai donc fini par concrétiser : la généalogie.

Je vous passe les détails (j'ai pu retrouver la trace de mes cousins anglais et discuter avec l'un d'entre eux via Internet ! C'est pas génial, ça ?), disons que cette nouvelle occupation m'a pas mal accaparée ces dernières semaines (les archives en ligne, c'est le pied ! Surtout le dimanche !) et qu'elle a durant cette période complètement anesthésiée toute envie de lecture (de quoi ? Ah, oui... Regard découragé vers ma pile à lire. Ou plutôt ma caisse. Qui déborde dans les pièces à côté. Parce que même si je n'avais plus envie de lire, ça ne m'a pas empêchée d'acheter des livres. Bon d'achat offert pour mon anniversaire oblige, merci chéri !)

Mais l'euphorie généalogique des premiers moments est un peu retombée, mon envie de lecture se réveille de nouveau, comme l'atteste la présence d'un livre à mes côtés au moment où je tape ceci.

Pour le troisième tome des Misérables, on verra plus tard. Après tout, ce n'est pas comme si je n'en connaissais pas la fin ! Je vais donc laisser passer un peu de temps avant de me replonger dans un livre du XIXème siècle. Vu qu'en ce moment j'ai le nez plongé dans les archives de la même période et que bizarrement (ou logiquement ?), je ressens le besoin de ne pas mélanger mes deux occupations favorites du moment.
Et j'ai besoin de m'organiser entre les deux, et surtout de trouver une bonne méthode de travail pour mes recherches.

Ce troisième tome fera sans doute l'objet d'un article aditionnel. Mais pas tout de suite, hein, soyez pas pressés...
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2 commentaires:

  1. j'aime beaucoup la généalogie aussi, j'ai pu avoir des traces de mes ancêtres jusque 1700 (coté maternelle) ma tante est dingue de ce truc et m'a un peu refilé le virus....puisque ne sachant pas se servir d'internet elle m'a demandé un coup de main...et c'est tous simplement passionnant !!!
    Je ne peux pas m'empêcher d'imaginer comment étaient leurs vies, leurs maisons, c'est prenant...Pour le moment pas de nouveautées sur cette partie là, ma tante ayant elle aussi décrochée, mais qui sait si je ne m'y remettrai pas un jour.
    Bonne continuation.
    Valérie

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  2. C'est vrai que c'est du boulot. Rien que du côté paternel, le grand-père avait 10 frères et soeurs, et la grand-mère était la petite dernière de 14. Tu vois l'ampleur du travail auquel je me suis attelée...
    En tout cas, le cousin anglais est vachement sympa : il me connaît à peine et m'envoie des tas de documents et de photos par mail ! Il faut dire qu'il travaille sur son arbre généalogique depuis 15 ans. Et qu'il est retraité. Ça aide aussi.

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