4 de couv' :
"Rien ne me fait peur. Je suis une reine. Sa Majesté des chats qui prépare l'avènement d'une nouvelle civilisation".
Dans un futur proche, l'humanité est en perdition et les rats envahissent progressivement Paris. Seule résiste une communauté formée de quelques centaines de chats et d'individus dirigée par une chatte nommée Bastet. Perchée sur l'épaule de Nathalie, sa maîtresse, celle-ci pense qu'il faut à tout prix chercher des renforts. Mais la rencontre avec les autres animaux sera semée d'embûches. Bastet parviendra-t-elle à créer une alliance suffisamment puissante pour contrer l'invasion des rats ? Pour elle, c'est une évidence : les chats doivent prendre la relève des humains.
Petit rappel : j'ai lu en 2018 le premier tome de cette série, dont je n'avais pas raffolé et m'étais dit à l'époque que je n'irai pas plus loin (voir ici).
Puis à Noël 2020, mon homme, qui visiblement n'a pas lu ce blog, a trouvé moyen de m'offrir le tome trois (voir ici aussi).
J'ai donc bien dû me procurer le tome deux, que je me suis décidée à lire cette semaine seulement car, inscrite sur Booknode, je me suis lancée sur divers challenges dont celui de 2022, pour lequel l'un des livres à lire est un livre fantastique ou de science-fiction. Voilà donc ma motivation de départ, c'est dire mon enthousiasme...
La bonne surprise est que depuis le premier tome, j'ai "digéré" ce qui avait été pour moi une déception, et comme je n'en attendais rien de plus je n'en ai que davantage apprécié celui-ci ! A mon propre étonnement, notez bien.
Une fois surmontée mon aversion pour l'anthropomorphisme et cette histoire de clef USB, je me suis laissée portée par l'histoire et surtout l'humour de ce tome, au point de l'imaginer transposé en manga.
Le côté prétentieux de Bastet ne fait que davantage renforcer l'aspect humoristique de ce livre, d'autant qu'elle a le chic pour se mettre (et les autres avec) dans de mauvaises positions.
Mention spéciale aux notes intercalées entre chaque chapitre (et chapitres eux-mêmes), interludes autant didactique que distrayants.
Bref, une bonne surprise au final, vu l'état d'esprit avec lequel je l'ai abordé.
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