dimanche 16 février 2020

Le gardien des choses perdues

4 de couv' :
Londres, mai 1974. Anthony peardew attend sa fiancée, Thérèse. Celle-ci est étonnamment en retard. Il est oin de se douter qu'elle n'arrivera jamais, gisant au centre de l'attroupement qui s'est formé quelques centaines de mètres plus bas sur la chaussée. De retour chez lui ce même jour, Anthony réalise qu'il a égaré le médaillon que Thérèse lui avait confié, rompant ainsi la seule promesse qu'elle lui ait jamais demandé de tenir. Le coeur brisé, il passera le restant de son existence à collecter des objets trouvés au hasard de ses promenades, dans l'espoir de pouvoir un jour les restituer à leurs propriétaires.
Désormais âgé de soixante-dix-neuf ans, le vieil homme décide de léguer sa demeure victorienne et les "trésors" qu'elle recèle à sa fidèle assistante Laura, qu'il pense être la seule à même d'accomplir la mission qu'il s'est donnée. En exprimant ses dernières volontés, il est loin de se douter de leurs répercussions et de l'heureuse suite de rencontres qu'elles vont provoquer...


Les défauts, d'abord : une histoire d'amour un peu convenue et une écriture sympathique mais sans plus. Mais...

Mais une belle histoire d'amour, une belle histoire d'amour-amitié, les histoires de ces objets perdus, toutes racontées en parallèle les unes des autres, de l'humour, de l'amitié, un fantôme, du thé (beaucoup) font qu'on n'a qu'une envie : suivre avec  bonheur là où l'autrice veut nous emmener.


Elle avait trouvé l'histoire parfaite, que personne ne pourrait qualifier de trop "calme". C'était une vaste histoire d'amour et de perte, de vie et de mort et, surtout, de rédemption. C'était l'histoire d'une grande passion qui avait duré plus de quarante ans et finalement trouvé son dénouement heureux.

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