lundi 4 février 2013

Le meilleur des jours

4 de couv' :
Après la mort de son père, Yassaman Montazami se réfugie dans l'écriture pour tenter de garder vive la mémoire de ce personnage hors norme. La drôlerie et la cocasserie des souvenirs atténuent peu à peu l'immense chagrin causé par sa perte.
(...)
Evocation d'un monde aujourd'hui disparu, ce premier roman frappe par sa maîtrise et par l'acuité de son trait.

J'ai volontairement tronqué le quatrième de couverture car il est un résumé de ce livre, ce qui est plutôt gênant pour un livre aussi court (138 pages). Quatrième de couverture que je n'avais pas lu en entier, ou en tout cas, pas juste avant de le lire, je ne l'avais donc plus en tête. Et ne m'a donc pas gâché la lecture de ce livre.

Bien que le thème de ce roman est similaire à "Avec tes mains" de Ahmed Kalouaz (hommage d'un enfant à son père décédé), et que j'avais moyennement apprécié, j'ai beaucoup aimé celui-ci.

C'est une belle et véritable déclaration d'amour d'une fille à son père et un hommage à cet homme qu'est ce roman. Le tout sous fond d'Histoire iranienne.

C'est drôle, c'est émouvant, c'est empli d'amour. C'est beau, tout simplement.

Et le plus beau dans tout ça, c'est qu'elle a voulu et su nous faire partager ce qu'elle ressentait pour son père, que, une fois le livre fermé, on souhaiterait avoir connu.

C'est une multitude d'anecdotes, mais tellement bien assemblées que l'ensemble en devient harmonieux.

Court roman, mais l'essentiel est dit, et bien dit.
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