dimanche 29 mai 2011

Et voilà, je l'ai lu... (08/10/2007)

Et je suis encore sous le charme.

Le style d’écriture est, me semble-t-il, sensiblement différent des autres Amélie Nothomb (notez que je n’ai pas encore lu « Acide sulfurique » ni « Journal d’Hirondelle »)

Ce livre n’en devient que plus personnel, poétique et touchant. On y ressent une grande tendresse à la lecture. Tendresse pour le Japon, pour Rinri, pour ce doux souvenir que furent ces deux années avec lui. Et encore plus sur la scène de fin. C’est presque pudiquement que l’on ferme ce livre sur cette scène.

Donc rien d’incisif ni de corrosif comme c’est souvent le cas dans les romans d’Amélie Nothomb.

Mais toujours la même pertinence, le même amour des mots, des langues (délectable pour moi qui ai fait trois langues étrangères durant ma scolarité et n’ai pas perdu espoir de continuer à en apprendre d’autres ainsi que le breton !) et surtout toujours cet humour si pertinent, percutant et à propos !

Bon, je sais que je ne suis guère objective quand je parle d’Amélie Nothomb. Je ne suis guère objective en parlant du Japon non plus.

Mais une fois de plus, j’ai trouvé un livre d’Amélie Nothomb délectable.


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