4 de couv' :
Geoffrey Martin, ce n'est pas son vrai nom. Sauf qu'il y a huit ans, quand sa voiture a percuté un arbre et qu'il a repris conscience, c'est celui qui figurait sur ses papiers. De faux papiers, d'après la police. Mais personne n'a pu en savoir plus car il a laissé sa mémoire dans l'accident. " Geoffrey " a donc commencé une nouvelle vie. Il a même rencontré le grand amour avec Josepha. Pourtant, il est hanté par un cauchemar récurrent et inexplicable : un œil détaché de son orbite vient rouler dans le caniveau et se perdre dans les égouts. Et puis, une nuit, c'est la réalité qui devient cauchemar quand il apprend que Josepha s'est suicidée. Il n'y croit pas, le lieutenant Lancelot non plus. Qui était Geoffrey Martin dans sa première vie ? Quel secret si lourd cachait-il, au point d'avoir effacé ses souvenirs ? Remarqué pour son premier roman Braquages, Christian Roux entraîne son lecteur dans un jeu de perpétuels rebondissements où le suspense fait sans cesse écho au tragique.
Que voilà un bon, un excellent, un superbe polar ! J’en lirai d’autres du même auteur car vraiment, j’ai a-do-ré !
C’est bien écrit, bien décrit, drôle, percutant, ça tient la route de bout en bout, les rebondissements sont bien amenés et, au risque de me répéter, tiennent la route comme jamais, la psychologie des personnages est bien fouillée, l’intrigue parfaite, le dénouement impeccable.
Je l’ai emprunté un peu par hasard et comme je n’avais pas eu le temps de le finir, je l’avais même ré-emprunté, ce que je fais rarement. C’est donc une bonne, une excellente surprise.
Franchement, l’écriture est parfaite : rien de trop ni de trop peu. L’auteur sait où il va et on se laisse guider avec bonheur.
Bref, pour ceux du fond qui ne suivent pas : j’ai rarement autant aimé un polar. D’habitude, j’aime beaucoup ou je trouve que c’est un bon divertissement, mais, là je suis vraiment enthousiaste et vous le recommande chaudement !
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